"De l’eau potable pour boire …des bonnes pratiques pour mieux préserver l’EAU".
Cette rencontre a vu la participation d'un ensemble de chercheurs de l'INRAA par des communications orales et affichées, Messieurs CHOUAKI S., HAFOUDAL. et ACHOUR A.F.
le Pr. ABBAS Khaled, diercteur de l'INRAA a assisté à cette manifestation importante en compagnie du chef de département de la planification des programmes et des relations extérieures, Mr HERDA Farid.
Préambule :
La rareté des ressources en eaux conventionnelles représente pour l’Algérie, en vertu de son climat méditerranéen aride à semi-aride, un souci majeur et une importante préoccupation ; elle affecte négativement le bien-être des citoyens et menace l'avenir des générations futures. Le potentiel hydrique global mobilisable dont dispose l’Algérie ne dépasse pas les 13.2 milliards m3 d’eau, ce qui offre un volume annuel de 412 m3 à chaque citoyen tout usage confondu. Ce chiffre théorique est un indicateur d’une situation de grave pénurie d’eau qui entrave tout développement du pays. Par ailleurs, la détérioration de la qualité des ressources en eau, suite à l’activité humaine, constitue une menace aussi importante que celle liée au déséquilibre quantitatif qui existe entre le renouvellement de la ressource et les prélèvements. En effet, le problème de pollution des ressources en eau générée par les rejets urbains et par l’activité industrielle et agricole, diminue le potentiel des ressources hydriques de bonne qualité. L’inventaire des bonnes pratiques apparait comme une alternative pour la préservation de la ressource et la promotion du secteur de l’eau. Cette technique n’engendre aucun investissement supplémentaire C’est autour de cette idée que s’inscrit le projet CREM qui vise l’inventaire des bonnes pratique de l’eau et son application à l’échelle nationale et régionale. Cet atelier sur les bonnes pratiques dans le domaine de l’eau est programmé après 03 mois de parcours du projet pour d’une part, présenter et cerner les résultats des travaux engagés et réalisés dans ce projet sur ses différents axes, et d’autre part donner l’occasion aux différents intervenants du secteur de l’eau, de l’agriculture, de la recherche,… de présenter les travaux entrepris dans le cadre de la thématique globale de la bonne pratique sous ses différentes formes, techniques, sociales, économiques et législatives. Cet atelier permettra aussi un échange d’idées, de pratiques, et de débats entre plusieurs intervenants pluri et multi disciplinaires.
BELLAHRECHE Ahmed
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