Monsieur Aourag a évoqué plusieurs domaines de collaboration,
notamment tout ce qui lié à la sécurité alimentaire, hydrique et énergétique.
Il a souhaité la mise en place conjointe d’un programme international multi
annuel Cirad-DGRSDT comme celui avec le CNRS, INRA France avec des appels à
projets communs et co-financés. Il
faudra étudier les modalités de financement (achat des billets, prise en
charge, etc.). La coopération CIRAD-DGRSDT doit toucher des problématiques
pointues, spécifiques aux deux pays.
Dr. Bazile, dans son intervention a évoqué plusieurs points qu’il faut
prendre en charge, en outre le renouvellement des conventions, la consolidation
des consortiums pour la mise en place de nouveaux projets dans le cadre de
l’appel PRIMA.
Il a ajouté dans son intervention que le CIRAD se préoccupe dans sa
stratégie des problèmes de rareté de l’eau et sa gestion dans la région
méditerranéenne, des sciences du vivant, des sciences sociales et des sciences
de l’ingénieur appliquées à l’agriculture, à l’alimentation, à l’environnement
et à la gestion des territoires. Le CIRAD travaille sur les grandes thématiques
telles que la sécurité alimentaire, les changements climatiques, la gestion des
ressources naturelles, la réduction des inégalités et la lutte contre la
pauvreté.
L’INRAA
représenté par son Directeur Adjoint, après avoir exposé les différentes
domaines de recherche de notre institut et les besoins en matière de
coopération avec le CIRAD principalement, dans la formation de recherche et renforcement
des capacités, un point de situation a été mis en exergue concernant les
conventions existante entre l’INRAA et le CIRAD, qui sont des conventions
multilatérales avec des organismes français, et qu’un avant-projet de
convention a été lancé en 2013 lors de la réunion du comité agricole mixte
algéro-française de coopération entre l’INRAA-INRF et AGREENIUM. Il n’y a pas
eu de suite à cette action, ce que Monsieur Bazile a promis de redynamiser
cette initiative.
